Georgette Lamoureux
juillet 14, 2015
![Georgette Lamoureux tout sourire, au centre, tenant le bras d'une collègue avec le personnel de l'Ambassade du Canada, [probablement à Santiago au Chili, 1943]. Université d'Ottawa, CRCCF, Fonds Georgette-Lamoureux (P50), Ph238-1138.](https://ontario400.ca/wp-content/user_files/2015/07/Georgette-L-souriante-300x203.jpg)
Georgette Lamoureux tout sourire, au centre, tenant le bras d’une collègue avec le personnel de l’Ambassade du Canada [probablement à Santiago au Chili, 1943]. Source : Université d’Ottawa, CRCCF, Fonds Georgette-Lamoureux (P50), Ph238-1138.
De 1973 à 1975, elle est présidente générale de la Société d’étude et de conférences, à Ottawa.

Livres de Georgette Lamoureux. Bytown et ses pionniers canadiens-français, 1826-1855 (parût en 1978) et le livre Histoire d’Ottawa Tome 3 – Ottawa et sa population canadienne-française, 1876-1899 (parût en 1982). Source : UsedOttawa.
Elle publie Visage de La Havane (1962), Visage du Japon (1969), Bytown et ses pionniers canadiens-français (Tome 1, 1978), Ottawa 1855-1876 et sa population canadienne-française (Tome 2, 1980), Histoire d’Ottawa – Ottawa et sa population canadienne-française, 1876-1899 (Tome 3, 1982), Ottawa et sa population canadienne-française, 1900-1926 (Tome 4, 1984) et Ottawa et sa population canadienne-française, 1926-1950 (Tome 5, 1989).
En reconnaissance de ses livres et d’articles parus dans Le Droit, elle reçoit le prix Lescarbot (1992), le prix Docteur J.‑Émile-Major (1990), le prix littéraire de la Municipalité régionale d’Ottawa-Carleton (1983) et le prix de l’Historical Society of Ottawa. Georgette Lamoureux meurt à Ottawa le 28 juillet 1995 à l’âge de 84 ans.
Texte tiré du site Web du Muséoparc Vanier, section Raconte-moi.

Phydime Lamoureux (père de Georgette Lamoureux) dans son épicerie de la rue Garland, Ottawa, entre 1930 et 1939. Source : Université d’Ottawa, CRCCF, Fonds Georgette-Lamoureux (P50), Ph238-1495.
Saviez-vous que ?
- Georgette Lamoureux est fille de Phydime Lamoureux et de Bernadette Simard
- Elle a suivi un cours d’espagnol, d’allemand et d’italien à l’Université d’Ottawa
- Il existe un fonds en son nom (Fonds Georgette-Lamoureux ) qui témoigne sa vie, ses réalisations et ses séjours à l’étranger.
Références : Université d’Ottawa, Centre de recherche en civilisation canadienne-française.