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Les francophones dans la région du Niagara

décembre 3, 2014

Employés du Empire Cotton Mills

Employés du Empire Cotton Mills. Source : Musée Historique de Welland

Le quartier connu sous le nom familier de « ville française » fut créé en 1918, lors de l’arrivée d’environ 20 familles canadiennes françaises du Québec, venues travailler à l’usine d’Empire Cotton Mills. La paroisse catholique romaine Sacré-Cœur vit le jour en 1920 et devint le centre culturel de la communauté francophone qui s’était établie aux alentours de la rue Empire. D’autres familles canadiennes françaises arrivèrent du Québec, du Nouveau-Brunswick et du Nord de l’Ontario tout au long des années 1920. Une autre vague de francophones s’établit dans le quartier au début de la Seconde Guerre mondiale, attirée surtout par les emplois offerts par l’industrie locale. Le district français était une communauté forte et vivante qui protégeait la culture canadienne française et encourageait l’utilisation du français. C’est dans les années 1960 que le quartier compta le plus grand nombre d’habitants, mais la majorité des francophones de Welland continua d’y résider jusqu’à la fin des années 1980. L’influence profonde de la culture et du patrimoine canadiens français de la petite et dynamique communauté francophone continue de se faire sentir à Welland.

– Texte tiré de la plaque historique à Welland

La famille Marois

Alphonse Marois, Marie Fortin et 13 des 21 enfants qu’a compté la famille Marois, la plus grande et l’une des premières à s’établir à Welland en 1917. Source : Université d’Ottawa, CRCCF, Fonds TVOntario (C21), Ph23-W-5.

Première classe canadienne-française de Welland

Première classe privée canadienne-française de Welland; avec l’institutrice Anne-Marie Lemelin en 1920. Source : Université d’Ottawa, CRCCF, Fonds TVOntario (C21), Ph23-W-10.

 

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